Mort de rire Alliance travian |
|
| Histoire fantastique... | |
| | Auteur | Message |
---|
kikine
Nombre de messages : 214 Age : 35 Peuple : dans un village gaulois pour mission ^^ Date d'inscription : 07/06/2006
| Sujet: Histoire fantastique... Mer 14 Juin 2006 - 17:36 | |
| La nuit venait de tomber et la lune disparaissait selon les nuages noirs qui survolaient le ciel. Dans ce silence nocturne, une plume crattait un parchemin dans le château noir et gris. Une lumière était apparue une ou deux heure avant le couché du soleil. Un jeune homme d'un quinzaine d'année était assis sur une belle chaise en bois de bouleau recouvert de cousin rouge au accoudoir et au siège. Il écrivit un message sur un parchemin blanc à un bureau en chêne brun foncé. La plume s'arrêta, je jeune homme relut le message, siffla et un serviteur habillé de blanc arriva.
-Vous m'avez appelé Seigneur Connavar? -Oui, répondit Connavar. Apportes ce message à un vieil amis a moi.
Le serviteur ne posa pas de question et il sortit de la pièce. Connavar se retrouva seul mais il s'aperçu qu'il y avait quelqu'un d'autre. Il regarda la pièce des yeux, mais il ne vit rien à cause de l'obscurité. Connavar s'approcha de la bougie, la prit de la main et alla dans toute la pièce pour trouver l'être qui l'observait. Apres une heure de recherche, il abandonna et alla se coucher. Un bruit le réveilla, il leva la tête et regarda un elfe avec un couteau à dix centimètres de la tête. L'elfe avait une beauté extraordinaire mais des yeux bleu ciel regardèrent leur prochaine victime. La lame du couteau s'approcha du visage de Connavar dont celui-ci rit.
-Qu'est ce qui te fait rire, humain? -Qui êtes-vous? Que me voulez vous? -Je suis un mercenaire et je veux ta mort pour gagner mon gagne-pain. -Vous n'avez pas l'air d'un mercenaire. Vous avez l'air d'être un elfe comme les autres. -Je.... JE....
L'elfe s'écroula sur le lit et il ne bougea plus : une flèches était planté dans le dos. Connavar regarda vers la porte et fut content que Raida fût arrivé. Celui-ci entra avec deux gardes qui emmenèrent le tueur à l'infirmerie.
-As ce que je vois, tu n'as pas eu peur.
Raida était un jeune elfe d'un vingtaine d'année, il avait un visage doux pouvant apaisé n'importe quel être, ses doigt étaient fins et rose pâle. Il tenait toujours son arc dans ses mains mais il le remit bien vite dans son dos pour saluer son ami.
-Bonjours mon ami. Comment allez vous par cette nuit étoiler ?
- Un peut ébranlé mais bien
-Nous possédons beaucoup d'information sur l'ennemie. Mais pas sur leurs espion ainsi qu'ou il vont recruter leur assassin.
-Il faudrait tout savoir.
IL regardais son ami lui prit la main et le levas.
-Nous devons parler mon cher. Cela est important. Mais Vos mur on des oreille alors je vous sugere donc de partir au petit matin vers Srutsa mon fort caché en foret accepter vous mon ami de voir joindre a moi demain.
-Mais bien entendu je ne peut vous refuser quoi que se soit vous vener de me sauver la vie.
Connavar se recoucha et s’endormit. Raida parti faire de même. L'assassin qui étais toujours a l'infirmerie étais sur le point de mourir personne ne put sauver cet homme. Elendar et Litam qui avait amener le tueur a l'infirmerie n'avait pas réussi a découvrir qui avait engager cet assassin
Au petit matin Raida allas réveiller sont amis qui ronflais encore.
-Mais quelle dégoûtant!
Se dit Raida en voyant son amis Connavar dormir tout nu Raida retint son souffle pour ne pas rire en sortant sont cor il l'amenas a sa bouche et souffla un bon coup dans l'oreille de son ami.
-Bien le bonjours mon seigneur. Etes-vous prêt pour le voyage en Srutsa.
Connavar se réveilla avec sursaut. Il vit le jeune elfe debout a son chevet, les yeux bleu azur comme tous les matins. Connavar se leva avec peine, les événements de la veille lui avait toujours fait un choc, mais il se ressaisis lorsqu'ils sortirent vers le château Secret de l'elfe. Ils ne parlèrent pas beaucoup, deux gardes que Connavar avait demandé de les accompagner, les suivirent en murmurant. Soudain, Raida s'arrêta net et regarda autour de lui.
-Baissez vous, et taisez vous.
Un bruit sourd se fut entendre derrière Raida et Connavar, ils se retournèrent et virent un géant de quatre mètre avec un soldat du Seigneur Rigante dans une main et un corps son tête dans l'autre. Le choc était la tête du soldat qui avait percuté le sol. Connavar sortit son épée et s'approcha du monstre. Une flèche fila, puis une autre qui touchèrent le Géant en pleine tête. Il lâcha l'homme de sa main gauche et se protégea les yeux. Raida continua toujours à lui lancer des flèches mais le monstre s'approcha de lui et le frappa. Raida fut expulsé a trois mètre de là et il ne bougea plus. Connavar, toujours l'épée en main, arriva à prendre sa dague malgré sa peur et il la lança sur la tête du monstre. La dague s'enfonça et le monstre cria. Il se tourna vers le lanceur et se dirigea vers lui. Connavar pris son épée à deux mains et coupa la main du Géant qu'il tendait pour l'attraper. Un cri effroyable sortit de la bouche du Géant qui s'écroula et pleura.
-Quaon noil pazrru....Quaon noil pazrru....Quaon noil pazrru....
Il marmonna ses mots puis il ne dit plus rien : Il était mort.
-Quaon noil pazrru.... Je ne connais pas cette langue, et toi?
Raida fit non de la tête et il vérifia qu'il était bien mort. Il fouilla dans sa memoire et cria
-Ma mission a échouée.... -Une mission? Quelle mission...? -Quaon noil pazrru.... dans notre langue sa veut dire "Ma mission a échouée." et comme cette langue y ressemble je pensait que se serai bien cela.
Connavar aida son soldat a ce relever et ils s’approchèrent du monstre. Lui et Raida étudièrent les symboles illustrés sur le corps du monstre atroce. Ils représentaient des cercles perpétuels qui semblaient être en feu. Ces signes provenaient des territoires du nord.
-Les cercles doivent signifier la continuité. Peut-être une prophétie qui se répète au court de l'histoire. Le feu signifie victoire et puisque le signe vient de notre ennemi, nous subirons peut-être la défaite. -Je ne crois pas ces histoires de prophéties. Ce ne sont que des histoires pour faire peur aux enfants! -Celles inventées par l'homme lui-même le sont, mais les Dieux peuvent écrire le sens de nos vies comme ils peuvent la détruire. -Je prends garde de ce que l'ont dis au sujet des dieux. Personne ne les a jamais vu! Que pourraient-ils faire dans cette guerre? -Les hommes qui pensent de cette manière meurent souvent atrocement. Tu ferais bien de surveiller tes paroles mon ami! -Revenons-en au fait, je déteste parler des Dieux. -Tu as raison. Cette mission, ne serait-ce pas de nous tuer? -C’est bien possible. Les gens du nord sont souvent tenté par les territoires du sud et tentent souvent de s'en emparer, mais je ne sais pas où ils auraient pu recruter des géants et des elfes près de leurs territoires! -Laissons les choses se dérouler et nous découvriront sûrement ce qui se cache derière tout ça.
Ils aidèrent les soldats à débarrasser ce corps de l'allé et poursuivirent leur route vers Sruta sans savoir que le destin allait s'abattre sur eux | |
| | | kikine
Nombre de messages : 214 Age : 35 Peuple : dans un village gaulois pour mission ^^ Date d'inscription : 07/06/2006
| Sujet: Re: Histoire fantastique... Ven 16 Juin 2006 - 17:13 | |
| Les deux hommes, en continuant leurs chemin, vire un homme se faire frapper par trois elfes à la figures noirs. Les deux hommes stoppa le garde qui les suivaient aussi. Raida prit trois flèches dans sont carquois ferma les yeux trois secondes.
Connavar, pressé, sortit tout de suite son épée de son fourreau prêt à sauter sur ses elfes dégoûtant. Raida ouvrit un seul oeil et murmura :
-Eras tourbibe.
Il décocha ses trois flèche droit sur deux des elfes. Le dernier leva la tête et se mit à courir vers l’archer qui sorti aussitôt une autre flèche.
Connavar sauta en bas de sont cheval et cria
-Il est a moi
Connavar trancha la tête de l’elfe avec férocité; Raida descendit de son cheval pour voir qui étais étendue là-bas. Il vira l'homme sur le côté.
-Quelle est votre nom, jeune homme ? -Mon nom je ne m’en souviens plus mais je sais que je suis un Viking
L'homme tomba dans les pommes, il fit embarqué sur le cheval de Elwen une jeune elfe qui attendait le groupe au bord de la foret.
-Que penses-tu de lui?
Raida était debout, près de la table et il regarda droit devant lui. Connavar, lui, était assis sur une chaise en bois, il tenait un verre en céramique dans sa main et il la porta plusieurs fois à ses lèvres avant de le poser sur la table. L'être, qu'ils avaient sauvé, était coucher sur un des quatre lits, l'elfe de Raida, Elwen, était près de lui et parla en langue elfique. Un feu de cheminée révéla le visage du blésé. Connavar le regarda puis il se leva et se dirigea vers son lit.
-Tu ne m’as toujours pas dit ce que tu en pensais.
Connavar ne répondit toujours pas. Raida lui reposa encore la question, le rigante se tourna vers lui et il se rapprocha de l'interrogateur.
-Pour l'instant, je n'en pense rien. Mais, on le saura dés son réveille.
Connavar lui souhaita bonne nuit, puis alla se coucher. La jeune elfe regarda Raida, puis elle se tourna vers le blessé qui respirait mal. Raida bougea et se dirigea vers le viking. La nuit passa, ils se levèrent à l'aurore pour partir vers leur destination. Le soldat de Connavar le salua puis il repartit dans le Palais pour le gérer pendant l'absence de son Seigneur. La jeune elfe installa le blessé sur son cheval puis elle l'enfourcha avec élégance. Connavar pouffa puis se mis en selle, suivit de Raida qui n'avait pas compris ce que son elfe avait fait pour faire rire le jeune guerrier.
Pourquoi as-tu rit? Je ne pas compris ta reaction. Et ben... c'est que... Quand elle est montée sur son cheval, elle m'avait l'air de ne pas savoir le monter, mais elle le monte avec une telle élégance que ce n'est pas une elfe comme les autres. Depuis quand est-elle a t-on service?
Raida regarda sa soldate, elle lui sourit puis se remis dans ses pensées secrètes. Raida ne savais plus depuis combien de temps il l'avait pris à son service alors qu'elle mourait de faim sur les rues boueuses de Clovork, une cité elfique dont la misère est à chaque pas. Il était passé par là par hasard : il avait perdu son chemin. Il lui demanda son chemin, la jeune elfe lui avait répondit puis s'était évanouie. Raida l'avais prise sur son cheval et avait pris la route vers le château où il fut hébergé et rassasier avec un nouveau elfe sous la main. Raida repensa à ce moment mais Connavar le fit remettre sur ses pieds. Raida revint à la réalité et il vit que Connavar et Elwen s'étaient arrêtés. Le blessé avec bouger et essaya de parler. Des morceaux de phrases inaudibles sortis de sa bouche mais il s’évanouit à cause du manque de force. Apres avoir remis le viking sur le cheval, le petit groupement repartirent vers une ville où ils pourraient se rassasier après une longue marche dans les bois. La dernière plaine qui séparait la ville était devant leurs yeux. Elwen sentit le viking bouger dans son dos et s’arrêta subitement pour lui donné un peu d'eau et l'homme s'assoupie à nouveau. Ils arrivèrent devant les deux gros battant de chêne de la porte de Lutemberg et Connavar frappa à la porte.
- Qui est-vous? demanda l'homme derrière la porte en ouvrant la petite judas pour regarder les homme qui attendaient au devant. -Le Seigneur Connavar, nous cherchons un endroit où nous rassasier et passer une bonne nuit de sommeille. Pouvons-nous trouver refuge ici, gardien ?
L'homme hésita quelque seconde puis demanda.
-Qu'avez vous à m'offrir pour que vous passer en si grand nombre ?
Un bruit de tonnerre se fit entendre et les gouttes se mirent à tomber sans arrêt. Elewe mit une cape sur le viking et mit son capuchon, Raida fit de même et connavar, avec son air sérieux et robuste, n’enfila pas de cape et laissa coulé les gouttes sur son visage. L'homme voyant cet orage éclaté décida de les laisser entrer puis il leurs dit de ne pas faire de trouble sinon ils risqueraient de ne plus vivre. A ces mots, Connavar prit un air supérieur comme si ce message ne lui importait guerre. Le portier les emmena dans les rues boueuses de la cité. Ils arrivèrent devant une auberge dont le nom de l'enseigne de leurs disait rien.
L'aube noire....? Que c'est charmant, n'est ce pas?
Aucun des compagnons ne répondirent, le portier les fit entré dedans, les dirigea dans une chambre assez espacé puis il leur fit une révérence et il quitta la pièce. Connavar regarda la pièce et son regard fut attiré par une grande chose. Il immobilisa les autre qui tenait le Viking puis, d'une voix forte et en colère, il dit :
Qui es-tu, toi là-bas? Pourquoi es-tu assis dans la pénombre? Répond !
La chose s'agita puis se leva avec lenteur.
C'est peut-être un vieux. Je ne crois pas. Il me semble plus haut qu'un vieux normale.
La chose se dirigea vers eux. Le sol craquait sous ses pas mais il les ignora et continua sa traversée de la pièce vers le petit groupe. Arrivé à un mètre de Connavar, la chose sourit puis rit bruyamment. Elle vit le blesser et s'arrêta. Elle se dirigea vers lui. La lune montra son visage, c'était une vieille femme qui attendait viking depuis longtemps. Elle lui avait donné une mission Et quand le moment où elle pu la terminer, elle se retint et tomba évanouis. Connavar la regarda tomber et il remarqua une lettre dans sa main. Il la pris et la lit :
Un homme battu viendra à toi. Il se nomme Bartholos. Son esprit est sombre mais son rôle est important. Le malheur le suivra tout au long de sa vie, mais il doit survivre pour que Lutemberg puisse survivre aux attaques ennemies. Des hommes l'accompagneront. L'un deux s'appelle Connavar. Son destin est tout aussi important que Bartholos. Raida, lui, les guidera lors de leur ascension au sommet. Donne leur cette lettre qui les aideras dans leur quêtes et au long de leur vie. Ne lisez pas ce qui suit.
Connavar, ton rôle est de diriger les armées de Corinthe. Use de ta renommé pour rapatrier tes hommes et repousser leur craintes au delà de la limite terrestre. Prends soin de tes hommes et organise des fêtes pour les récompenser sinon, ils te poignarderont par derrière.
Raida, ton rôle sera spirituel. Tu appuieras Connavar à la direction des troupes et tu les commanderas lorsqu'il sera absent. Tes pouvoirs augmenteront au fur et à mesure que la guerre avancera.
La lettre était signé d'un « M ». Connavar lissa la Postscriptum.
Une mission important aura lui, là ou se trouve Raida, Connavar et Bartholos. Qu’ils Restent éveillés.
-C'est quoi ça...
La porte s'ouvrit à la volée. La porteur de la porte y entra et leurs annonça:
-Vous êtes des Seigneur?
Connavar, Raida et l'elfe dirent "oui" de la tête.
-Le barrage a céder. Et les hommes n'écoute pas le chef. Alors, je me disais.... Que... -…Que nous pourrons vous aidez? Termina Connavar.
Le portier sourit et les conduisit au barrage. Mille hommes se tenaient là, regardant l'eau sortir du barrage. Barthols avait réussis à se lever malgré qu'il fût faible, se tenait auprès de Raida et Connavar. Chacun prirent trois cent hommes pour s'occuper des points les plus faibles du barrage. | |
| | | kikine
Nombre de messages : 214 Age : 35 Peuple : dans un village gaulois pour mission ^^ Date d'inscription : 07/06/2006
| Sujet: Re: Histoire fantastique... Ven 16 Juin 2006 - 17:14 | |
| -Prenez du bois des clous tout ce que vous prouvez trouvé pour aider à boucher cet craque ici! Aller a partir d'aujourd'hui c’est la vie ou la mort, mon cher amis, Connavar, nous nous soutiendrons dans notre quête même si nous ne savons pas ou cela nous mènera.
Les hommes se mirent à apporter du bois et des planches.
- Apportez des vêtement pour aider à empêcher l’eau de ressortir.
Les hommes exécutèrent la tache. Raida regardait du côté de Bartholos si tout allait bien et lança un sourire à son ami Connavar qui lui sourità son tour. Il ordonna:
-ALLEZ, PLUS VITE.
Les hommes qui étaient sous son commandement accélérèrent. Connavar regarda près de lui, il y avait du graviers, des petites pierres et des grosses pierres. Il réfléchit puis il ordonna de nouveau:
-Prenez ces grosses pierres et essayer de les mettre dans les trous. Que certaines faces du ciment pour les fixer. D'autres commencent à mettre les échelles là où il y a des fixes et des trous. -Oui, CHEF!
Connavar regarda dans les alentours de Raida et du viking qui s'était assis parce qu'il se sentait fatigué. Apres des heures de travailles, le barrage d'eau ne gouttait que quelque gouttes par ci, par là. Les habitants les remercièrent puis ils les emmenèrent dans une taverne où les trois aventuriers peuvent étancher leur soif. Au petit matin, ils se réveillèrent dans l'auberge où il était avant de sauver le village. Ils partirent dès le petit déjeuné terminer. Bartholos, encore affligé par la bataille avec les elfes quelques jours plus tôt, se rendit chez le guérisseur du coin pour aider à rétablir ses blessures atroces. Raida le suivi, curieux de voir comment le médecin s'y prendrait pour éliminer la douleur de Bartholos. Ils entrèrent donc tout deux dans une petite pièce formé par quelque poutre recouverte d'un tissu épais et imperméable brun. Quelques hommes reposaient sur des lits accrochés au toit. Plusieurs avaient dû être amputé car leurs os s'étaient bisés lors de l'ascension du Chavre. Le Chavre était en faite une montagne abrupte dont le sommet, dit-on, serait composé d'or et de cristal, mais depuis quelques années, personne n'est vraiment sûr de ce qui s'y trouve. Personne n'a réussi à grimper la falaise sans qui lui arrive un malheur. Le dernier homme qui l'a escalader est mort il y a des centaines d'années. Une femme vînt à la rencontre de Bartholos.
-Veuillez entrer dans le compartiment suivant.
Elle lui pointa une fissure dans le tissu qui semblait mené à l'extérieur car la lumière qui en émanait était intense et vive. Ils se mirent à avancer, mais la dame les interpella.
-Excusez moi, seule les blessés ont droits d'y entré.
Raida tenta en vain de convaincre la femme de le laisser entrer pour qu'il puisse observer les soins qu'il donne au patient. La curiosité de Raida était immense, il voulait tout savoir pour acquérir la sagesse, mais la secrétaire n'écouta même pas ses arguments. Bartholos lui dit:µ
Laissez-le entrer. Si vous le voulez.
Un vieil homme venait tout juste de passer sa tête écheveler de la fente dans le tissu.
Aller suivez-moi.
Raida qui suivait le viking étais très surpris de la manière dont les hommes se prenaient pour guérir il avança près du guérisseur et lui dit de mettre la poudre que raida sortit de sa poche à l'instant même où il parlait
Le guérisseur mit la poudre jaunâtre sur les plaies de Bartholos qui était étendue sur la table. Après quelques minutes, les plaies se refermaient tranquillement. L’homme impressionner demanda à Raida de quoi cette poudre était faite.
-C'est des herbes elfiques alors vous n'en trouverez pas ici
Raida laissa Bartholos se reposer sur la table quelque minutes et sortit de la tente pour essayer de retrouver son ami Connavar Quelque minutes plus tard il entendit une voix l'appeler, c'était son amis, Connavar.
-Que se passe-t-il, frère?
Connavar avait le regard inquiet. Apres un moment d'hésitation, il soupira et dit à Raida:
Vois-tu ces deux personnes dont les lampes montrent un peu leurs carrure?
Raida acquiesça et Connavar continua sa parole d'une voix grave et, souvent, aiguë.
Le premier, à gauche, est un ange, je pense qu'il se nomme Rouak. Le second, à droite, est un démon, enfin je crois. Je ne sais pas son nom mais sa doit être un nom de bandit. Je ne vois pas ce qui ont de particulier. Je viens d'apprendre, par ta jeune serviteur elfique, qu'il voulait faire un duel avec deux d'entre nous. Et comme Bartholos est encore faible, je pensais que c'était nous les plus potable pour ce duel. Ils en ont parlé hier soir dans la taverne. Ce sont des hommes du village, mais ils trouvent qu'on a commander des hommes a eux: ce sont des général depuis dix ans.... Que penses-tu? On accepte le duel?
Connavar regarda Raida dans ses yeux cherchant une réponse à sa question. Raida détourna son regard et il se dirigea vers l'ange et le démon.
-Qu'offrez-vous si on gagne? -Vous aurez ce bourg à vous seul. -Et si on perd? -C’est que vous serez mort.
-Venez voir le grand duel de Raida et du puissant rigante Connavar contre Rouak, l'ange gardien et son inverse Garthar, le démon noir! Les deux équipes s'affronteront dans un duel sanglant. Les gagnants seront nommés les roi de Lutemberg! Les champions entre dans l'arène. Dans la porte sud se tient le grand mage, RAIDA suivit de son compagnon de guerre et ami de toujours, CONNAVAR LE RIGANTE!!!!! Par l'entrée Nord, voici le maître de Lutemberg et protecteur du Chavre, ROUAK et son compagnon, le diable en personne, GARTHAR!!! Habitants, à vos chaises, voici le combat des Dieux!
Le maître Elfe s'avança un peu. Le soleil montrait ses cheveux couleur or, son nez mi-aquilin, ses oreilles pointues et son sourire charmant. Puis, le soleil montra ses bras musclé, son torse bombé et ses vêtements en Mithryl des Montagnes de l'Ouest. A gauche de lui, Connavar s'y tenait. Ses cheveux brun roux avaient été un peu tresser, son armure d'or et d'argent lui couvrait son bustes droit et bomber, ses gants en cuir brun se terminaient, au début des os des doigts, en pointe, ses botte en cuivre noir donnaient l'impression de sa grandeur et, enfin, sa longue épée avec son fourreau dans le dos du Rigante. De l'autre coté de l'arène, Rouak, l'ange, avait le visage dur et froid. Il avait une cote de maille sur tout ses membre et un simple casque en fer rouge sur sa tête. Son épée était longue et fine. Garthar, le démon, avait les yeux rouges sang, le visage pourpre et les dents pointues et sales. Il était nu, complètement nu, rien n'était sur sa peau, ou sur ces ailes pourpres, à part un morceau de tissu qui cachait son sexe et son postérieur. Il avait comme arme, un petit poignard et un bouclier en céramique recouvert de fer et de cuivre.
Messieurs, ceci est un combat loyal même si vos armes sont différentes. Voila comment va se dérouler les combats. Le premier jour, c'est à dire aujourd'hui, Seigneur Elfe et Sir Ange, vont s'affronté dans l’épreuve : "Les chevaux et la lance". Tandis que le Seigneur humain et Démon, se sera : " l'épée à main". Dans chaque duel, celui qui sera mis a terre ne participera pas demain à l'autre épreuve. Que le meilleur gagne, et que le spectacle soit chaud.
La foule acclamait, criait et hurlait les quatre héros dont Raida et Rouak qui commencèrent à s'habiller pour leur duel. Connavar habilla et conseilla Raida avant le duel. Puis, il le laissa réfléchir et alla s'installer dans la tribune "Seigneur" où il vit Bartholos, allongé sur un lit et regardant le terrain où le combat allait commencer. Une acclamation retentit lorsque l'ange et l'elfe entrèrent dans l'arène. Le soleil tapait sur le sol sableux du terrain et sur l'herbe autour de la barre qui séparait les deux duellistes. Ils se mirent sur leur cheval, la lance en main et attendirent que le mouchoir blanc de l'arbitre soit jeté et qu'il tombe à terre. Les secondes s'écoulèrent lentement lorsque le mouchoir fut lancé. Quand il atterrit enfin sur le sol, les chevaux se mirent à galopé et s’élancèrent vers le bout de la barrière. La lance de Rouak toucha le couclier de Raida qui lui n'eu le temps de ne rien faire. Les chevaux firent demi-tour et se relancèrent. Cette fois-ci, Raida toucha Rouak en pleine poitrine. Il tomba de son cheval et respira avec difficulté car la lance de Raida lui avait perforé le torse. Raida descendit de son cheval et coura vers son adversaire. Mais, il était trop tard : Rouak était mort. Le cor de la victoire sonna, et les spectateurs acclamaient le Seigneur elfe.
-Nous avons un premier champion. Que le Seigneur Connavar et le Démons s'apprêtent pour leurs combat à l’épée. Je demande aux spectateurs de se diriger vers l'arène ovale. Merci.
Le seigneur Rigante était anxieux, il ne connaissait rien de son adversaire à part son apparence et ses armes. Justes savoir quelles étaient ses habitudes auraient pu l’aider dans ce combat en lui indiquant ses forces et ses faiblesses. Connavar se préparait dans la chambre réservé au combattant de l'arène et constatait les capacités de son ennemi. Le démon a des ailes, donc il peut voler. Elles se sont sûrement pas solides. Ce serait donc une bonne cible pour frapper. Le seul problème, c'est qu'elles sont situées dans le dos de Garthar. Connavar devra aussi faire attention aux attaques aériennes et s'assurer de ne pas être aveuglé. Le démon semblait être un bandit, il sait sûrement se déplacer en silence. De cette manière, il lancerait du sable dans les yeux de Connaver et le contournerait pour ensuite le poignarder dans le dos sans que le Rigante ne puisse se défendre. Pour prévoir ce genre d'attaque, il parti s'acheter un casque de fortune pour protéger ses yeux. Dans l'arène, les habitants de la cité scandaient le nom de son opposant et cela ne lui plaisait guère. Ils s'impatientaient et Connavar, lui, prenaient son temps. Il devait réfléchir avant de se battre, cela le rendait plus efficace. Après quelques minutes passées dans sa chambre, les fans de combats gladiateurs furent contents d'enfin voir le Rigante entrée dans l'arène pour se battre contre Garthar, le démon. L'annonciateur fit ses présentations habituelles et l'arbitre commença le duel. Les deux opposants commencèrent par se regarder un moment contre le désir de la foule. Le démon semblait mécontent. Peut-être que Connavar avait-il vu juste au sujet de la stratégie de son ennemi ou peut-être la mort de son ami l'attristait et faisait naître en lui un sentiment de vengeance. L'homme, venu des enfers, fit le premiers pas. En faite, il s'envola pour se pose tous près de Connavar. Ce dernier se lança à l'assaut. Son premier coup percuta durement le bouclier du démon qui dû faire quelque pas en arrière pour retrouver son équilibre. Le coup suivant fût esquivé et le démon tenta de fendre la chair du Rigante avec la lame de son poignard, mais l'épée qu'il venait tout juste d'esquiver se présenta à la défense de son possesseur. Il fut si surpris de cette rapidité qu'il fut failli être tranché en deux lors de la troisième attaque. Garthar donna un violent coup d'aille qui fit lever du sable de terre plusieurs cri se sont fait entendre dans la foule. Plus personne ne voyais le combat tellement que vent de sable était épais Connavar entendait des pas autour de lui comme si le démon courais a une vitesse folle. Le seigneur Rigante porta son épée à son visage et se concentra pour ne faire qu'un avec son ennemi. Soudain, la poussière se dissipa tranquillement et Connavar qui n’entendais plus la foule hurler tellement il étais concentrer, brandit d'un coup sec son épée qui éjecta la dague des main de son adversaire. Celui-ci, fâché, sortit ses griffes et alla faire une entaille dans l'armure de notre héro. Sentant son ennemis tout près, Connavar planta son épée dans le crâne de son adversaire. Quand la poudrerie se dissipa entièrement, le Rigante étais à genoux à côté du Démon qui gisait au sol. Il priait la mort de ses deux combattants féroces. Raida, qui étais assit dans sa tente n'avais pas contemplé le spectacle, car il vit pour la première fois son sang. Apres le combat, Raida tombait par terre violemment. | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Histoire fantastique... | |
| |
| | | | Histoire fantastique... | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|